Ce n'est pas l'Oeil qui voit c'est l'Esprit.
Descartes VIème discours sur la Dioptrique.
C'est ainsi que Je m'engagerais très hardi prenant à broder le résolu de ce propos, dans la trame des idées en ramage dans le tissu de ce précepte. Aussi pour sûr admettons d'emblée le réalisme de ce préambule dans l'évidence de sa clarté, à savoir que
:
Voir c'est Penser.
Le costume d'une vue optique n'étant que la vision d'une métaphore, celle même de l'humus fécond de la pensée, en livrée de sens contenus et bordés par notre imagination.
Précisons toutefois bien
,
que ce préalable en charge d'induction d'effets pervers conséquents que traduit cette évidence qui s'énonce bien trop vive et immédiate, dans l'éclat de ses
a priori ,
constitue la commune accoutumée d'une vraisemblance de sens biseautés – remarque que je souligne au passage. Aussi cette vision dans l'abouti de ses vaines élucubrations demeure donc, tout compte fait, bien trop aveuglante dans ses apparences pour nous absoudre vraiment dans nos résolutions. Car s'absoudre rappelons le, c'est reconnaître le vrai et l'Être à qui ne les a pas de Soi.
Scrutons donc aussi ce travers d'une aberration marginale,
qui demande bien sûr, à être décousue dans ses errements. Pour cela, je formuletais premièrement un principe primordial, celui d'un salutaire éclaircissement qui s'impose dans l'accès à l'intelligence de cette notion du phénomène de la Pensée s'arraisonnant dans la
phonè
de son style propre.
Et donc,
avant toute chose ne nous laissons surtout pas berner par la candeur d'une spontanéïté qui trop prompte, fait docilement la part belle au jeu de nos engouements faciles. Je veux dénoncer ici les dérives d'un certain bon sens à tort si réputé, celles que la rumeur trop entichée par l'habitus d'une pratique mésusée des idéologies caquettent si complaisamment en chaque discours. Dans cet accent si résolument opiniâtre de préjugés relevant d'un lexique maintes fois renaclé et rabaché dans ses termes qui, bien qu'en portée tacitement consensuelle, interprète pourtant la manie des errements d'une langue de bois, cette tare viscérale d'un stigmate indélébile. Cette insigne marque au fer rouge de notre conditionnement, tant subjectif dans sa trop prégnante nécessité humaine, en souffrance de quiescente assurance.
C'est lors
que dans ses arbitrages, ses témoignages, ses petits commentaires sur le propos d'une information, d'un témoignage, d'une lecture la plupart du temps si vite torchée, que l'être d'un agent pris dans sa globalité, dans l'élan et l'allure de tout ce qu'il se donne à comprendre, que l'on déplore vraiment les méfaits suivants :
C'est ainsi que
t
outes ces appréhensions
qu'on prétend tenir à bout de bras dans l'épreuve de son entendement, dans leur réalité dévolue, se donnent trop communes de sens abusés. Ne peut-on reconnaître enfin que ces allégations ne traduisent
de facto
que l'unique volonté opiniâtre et têtue d'une profération à tout prix, d'une surenchère qui se réclame dans ses effets d'annonce si rassurée d'elle-même ? Bien que dans toutes ces manigances d'un être en artifice de réalisme aberrant, dans ce verbe éclaté de torpides apparences, ce manifeste nous aveugle dans toutes ses déraisons qu'on se donnent de croire, et de faire accroire. Aussi, je mentionnerais une remarque à savoir que ce tout faisant, ne peut à cet effet, que dissimuler sans doute la marchandise recueillie en capacité de sa raison, celle d'une denrée grossièrement enveloppée dans du papier mozabite, cet emballage improvisé de récupération, que l'on retrouvait à l'usage commerçant chez ces petits épiciers d'Algérie. Dans ces communs quartiers en fréquentation du lamb(a)da chaland, où ce tout venant citoyens en pénurie de ressources, venait au quotidien s'approvisionner en marchandises pour les besoins en condition de nécessité si vitale ?
Aussi,
citons pour illustrer cet argument, l'exemple d'une réalité qui traite toujours de la dérive de nos leurres, si fourvoyés dans le bain de l'illusion rendue trop évidente par ses effets pervers. C'est ainsi qu'une erreur scientifique très controversée s'est imposée très longtemps à l'Homme, déjouant les vérités trop vite installées par la propagation d'une Foi outrancieusement fantasmée, par l'Idéologie religieuse soit disant révélée. .
C'est ainsi
que l'homme depuis toujours le regard accroché au ciel, croyait en son temps à la course du soleil dans sa ronde circulaire autour de la Terre. Il regardait sans voir en quelque sorte la réalité de ce phénomène, en saisie directe d'une focale sidérante dans le positionnement d'un lieu présupposé figé, à travers l'immensité de son mouvement astral, en évolution prétendue exclusivement centrée autour de la Terre. Pris dans l'aveuglement d'une incapacité de sa faculté trop en prise directe de sa perspective primitive, de se situer dans l'écliptique de sa position astrale depuis sa réalité terrestre, où il est localisé au demeurant et de fait tout préalablement orienté dans ses azimuts cosmiques. Elargissons ce petit principe tout simple, d'un regard qui s'abuse sous les effets hallucinants d'un pseudo raisonnement, et qui, ne sachant absolument se situer dans sa relativité et le profil rigoureux du propre géométral de sa perspective spécifique, tombe dans le panneau de bien des croyances en fascination d'un leurre qui, sous la révélation de cet effet se donne cependant pour vraisemblable. C'est ainsi que d'une part la relativité, cette réalité foncière et patente d'une perspective s'édifie exclusivement depuis la réalité propre de la topologie du lieu de son étant. Aussi bien, la Terre demeure comme arrimée dans l'ancrage gravitationnelle de son positionnement sidéral, par la récurrence foncière des références situationnelles quantifiables propres à son état. Les quanta quant à eux, se définissent dans l'exponentiel de leur infinitésimale mesure de tous ces petits phénomènes, qui dans l'enjeu micrométrique de leurs incidences restent encore la plupart du temps non seulement incommensurables dans leur infini étalonnage, d'autant par ailleurs, que leur identification, se révèlent sans cesse décomposable dans la configuration d'une déclivité d'étant en métamorphose perpétuelle. Un peu ce concept de
Clinamen
d'Epicure et Lucrèce qui se profile indéfiniment en délitement incessant aussi bien dans la matière de l'atome sécable d'un indéfini non encore reconnu, que dans les dérives infinies d'un plaisir inlassablement en quête de dérivations incessantes d'absolu et de liberté. Dans ces accès féconds d'une spiritualité en exercice de sens polymorphes. Ce qui peut-être inspira Henri Poincaré lui même dans son ouvrage la «
Fin de la Matière
» qui traitant de l'essence exclusive d'un faisceau d'onde ondulatoire de particules énergétiques, préconisait de se débarraser de la notion même de matière. L'atome se révélant depuis sécable indéfiniment, il ne subsisterait que des flux et reflux infinis de particules organites sous formes de scories-corpuscules en prise dans le fluide des faisceaux ondulatoires, pour interpréter un peu trivialement ce troublant phénomène d'un délitement sans fin. Aussi dans bien des domaines de la compréhension, la complexité infinie de ces facteurs numériques d'une dimension supra-sensible, nous égarent tant dans nos pressentiments trop hâtifs de convenances bien naïvement spontanées, conditionnés que nous sommes par les effets torpides d'une trop candide docte ignorance, où se tient notre trop partiel et partial critère en jugement de sa raison, par trop engagée dans l'éther de sa
psychè
,
par la nécessaire récurrence de ses approximations subjectives.
A présent, transposons-nous dans l'intelligence de ces sensations induites sous le manifeste de cet étonnant phénomène de l'Hologramme.
Le faisceau de lumière radieuse
qui fait le grand spectacle des galas festifs des carrefours citoyens, surdimentionne par la projection crue de ses éclairs hallucinants, une certaine réalité, celle d'un aperçu adoubant par ses effets d'un éclairage surajouté, une dimension dérobée au regard ordinaire qui se pose souvent sur le mode d'une perception très perplexe sur la face du monde. C'est ainsi, que ce faisceau laser qui cible son rayonnement sur un édifice qui s'expose dans la propre perspective de sa géométrie, réveille la vision, par l'effet doppler intermitant des résonances intercurrentes celles du projecteur s'exposant, sur l'objet exposé ; ce qui nous dégourdit alors subitement l'esprit, face au géométral double de l'objet vue d'une face et dans l'incidence conjuguée du rayonnement penétrant, se jouant en réflexion de relief soudain révélé, ce qui nous installe dans la vision de ce point vernal – celui d'une réinitialisation - d'un imaginaire en effervescence de réalisme surréaliste. Mettant à jour ses moindres aspérités dans le profil d'une visibilité totalisante, ce qui tout en illuminant les moindres angles morts de l'édifice exposé, suscite vivement un imaginaire spectral en sommeil. Cette métaphore d'un esprit qui transfigure par miracle la platitude d'une image en lui donnant les dimensions d'une vision innovante de sens surrréalistes.
Ce doublement de perspectives de l'objet qui s'expose
et du rayonnement qui s'impose,
se chevauchant, se renforçant, nous ouvrent à la clarté d'une appréhension plus épurée dans le contenu de ses sens induits par cette représentation abordée indirectement sous un angle en sommeil d'attention. A vrai dire pour généraliser le propos, on pourrait tout aussi bien citer là, celle nécessaire d'une ré(flexion) qui, au fond n'est que la représentation d'une représentation, dans l'aura de ses effets intermittants d'une révélation inédite, que là aussi, tout comme pour le phénomène en répercussion de l'Hologramme cité plus haut, se doit de s'interposer dans l'appréhension de tout objet d'entendement qui s'expose à la conscience vigile.
Or ne sommes nous pas là
, comme enfin mieux adossés
et de fait
in situ
dans ce même phénomène que nous procure le réalisme d'une ré(flexion). Celui impérieux où la Conscience aurait à ne se prononcer que dans l'esprit en nature de ses propres adjuvants et les attributs de sa consistance, ceux d'une subjectivité en proie à la rigueur des composants de sa sensibilité, toute entière à la dérive de ses récurrentes tendances naturelles. Celle d'un regard se posant sur un objet posé, celle d'un point de vue foncièrement naturé, qui s'interpose dans ses effets à leur tour naturants, d'un déterminé, s'agissant dans sa sensibilité propre en déterminant une nouvelle structure d'entendement réaliste en quelque sorte.
Portons de même notre regard dans l'entité du champ de la Sémantique
.
Tant il est vrai qu'elle se révèle elle aussi en perpétuelle déconstructions de sens
tout aussi inlassablement dérivés. A tel point que même la psychanalyse notamment chez Lacan en fait état, où émerge dans la tranche des souvenirs en mémoire sous-jacente d'un vécu, la notion imminente d'un «
Sub specie durationis »
dont parle à juste propos Bergson, forgeant son concept de la «
Durée
» dans l'ouvrage «
Matière et mémoire
»
.
Aussi voyons à présent du côté de cette merveilleuse souplesse
en exercice des petites désinences en flexion se greffant sur le radical d'un signifiant qui ordonne le sens que nous saississons, dans les copules sémantiques d'un signifié
una e multis
et donc polymorphe. N'est-ce pas dans ce même moment, la réalité d'un savoir intangible toujours en propension indéfinie de sens apocryphes ? N'est-ce pas là aussi dans la souveraine puissance d'une dérivation illimitée des sens particuliers relatifs à un signifiant, le kadéiloscope d'une constellation de reflets sémantiques très ténus, celle dialectique d'une métaphore de l'esprit en réveil fulgurant ? Que ce soit celle d'une lecture d'un ouvrage, où tout agent dans ses perceptions brutes se doit de profiler son juste regard depuis son «
stand be
» (et non pas le
by
du dilettante en maraude de vague à l'âme, en apnée d'évanescentes rêvasseries déréalisantes, bien sûr !) sur ce qu'il découvre en approche seconde ?
Je pense plus précisément
que ce problème de la lecture et de la compréhension en général, que la plupart des lecteurs évacuent par facilité sous formes de réparties dans la faconde d'un commentaire qui, bien qu'indigent dans son verbe, ne se produit en fait que par l'effet et sous le
modus dicendi
d'un
soi-disant son propre avis plein de bon sens.
- du genre très prudent et en réserve du politiquement correct : «
Sois simple et mets toi à la portée des lecteurs
» - ce verbiage dans la portée d'une agaçante péroraison, celle d'un avis débilement trop consensuel, ne traduit à mon sens que le ton d'une expression galvaudée, qui une fois de plus s'affiche péremptoire dans sa manie têtue, celle relevant d'
une langue de bois
, qui labourant la mer, pédale dans les fausses apparences, tout en se prêtant complaisamment à flirter avec le bon sens le plus artificieux et qui s'éprend un peu trop fier de lui, dans la fièvre de sa vanité contenue. Or cette vanité, ne nous masque-t-elle pas en définitive le gros effort nécessaire que doit faire le lecteur, dans le strict besoin d'une réappropriation à partir seulement de l'impérieux besoin de dépoussiérage de son propre entendement ? Ce afin de s'aboucher en finesse et pleinement dans la rhétorique d'un écrivant. Car les propos dans l'exergue d'une expression qui s'énonce, se doivent pour sûr de décliner précisément les aperçus d'une ubiquité de sens requis par le contexte du discours en réflexion chez le scripteur. Ce besoin impérieux d'un effort en repli sur soi qui fait tant défaut dans les dispositions habituelles d'un lecteur moyen qui tout simplement balaie distraitement d'un regard en balade, feuilletant distraitement les pages d'un ouvrage.
Par ailleurs je ferais une remarque pour appuyer cette assertion témoignant l'impérieux besoin d'une réflexion en exercice, dans l'attention recueillie d'une attitude en position de lecteur accompli.
Notons toutefois un préalable sémantique en incubation patente dans le signifiant réfle(xion) – tout d'abord, dans l'avenant d'une flexion et donc en clinamen de perpétuels sens en dérivations implicites, puis celui aussi de reflets, un peu aussi à l'image de ces ombres chinoises projetées, (caverne de Platon) ; d'où s'en-suivent ces naturelles interprétations à vau l'eau des spontanéités subjectives que suggère clairement le concept de senti(ment).
J'évoque par là, ce réel effort
en phase de lecture, qui implique la puissance d'une attention très soutenue en phase d'exécution active, ce qui nous éloigne de l'attitude passive qu'on prête souvent au lecteur qui se contenterait de se goberger tout en gobant en dilettante la littérature d'un ouvrage discursif. Ajoutons de plus, que cette application d'une lecture est sans doute aussi, plus laborieuse que celle nécessitant l'acte d'écriture. Car transcrire ses idées tant soit peu déjà installées et figées et donc en phase de débit coulant fluide dans sa mémoire déjà toute circonvenue par la télé-ontologie des instances de sa propre expérience d'un vécu antérieur, cet acte en question dans la production d'un écrit, ne fonctionne-t-il pas bien souvent automatiquement ? Il est dans sa pratique efficiente, je dirais même à l'actif d'un moindre effort, celui à dévider sa pensée passivement sur le mode un peu itinérant, d'une habitude machinale qui déroule le fil des idées qui se vident de la bobine de sa mémoire. - Est-ce là peut-être aussi, comme le manifeste si bizarre de cet hallucinant phénomène d'une écriture automatique, les effets de la pulsion subconsciente de réflexes instantanés dont parle les surréalistes ? - un peu comme la trame d'un tissage que l'on découd d'un geste nonchaland dans sa répétition.
Non pas pour conclure,
mais en bouquet final d'une toute simple récapitulation en gerbe, dans cette prolifique argumentation de sens dérobés à l'ordinaire de nos états de conscience. Celle assurément que nous évoquons implicitement ici même dans cette profuse réflexion. C'est ainsi qu'en constante nécessité d'ouverture donc, nous nous rapprocherons de l'occurrence pertinente, d'un adage fort sage sous la plume d'un Boileau dans son traité de l'Art poétique : «
Hâtons-nous lentement et ne perdons courage, mille fois sur le métier remettons notre ouvrage »
Car pour plagier un peu aussi ce que disait le Pére des philosophes dès l'antiquité «
Le Monde est un tas d'ordure
» j'ai nommé Héraclite d'Ephèse. Au fond ne peut-on nous aussi considérer que la Culture dans l'approche globale de sa totalité, dans son appréhension première, nous apparaisse de même, semblable à un tas d'Immondices en friche de goût sauvage dans ce monde épandu de valeurs en constante inflation. Dans l'imbroglio d'escarmouches et joutes verbeuses à tout vent d'échanges dans l'équivoque d'altercations agonistiques ? Eh oui, car le cachet des valeurs de cette entité d'appréciation souvent perplexe et déréalisante de ces notions qui s'affrontent à la diable dans l'enjeu hasardeux des compromis, tous ces arguments hétéroclites d'une pensée en vadrouille d'une quête éperdue, en veine d'imprévus se donnant le recours bec et ongle, de quoi enfin, s'égaler soi-même. Cette engeance ne se saisit-elle pas elle aussi dans cet embrouillamini de bisbilles en ferraillage de sens éconduits à tout vent d'estime, à l'improviste d'intrigues en rencontres croisées de maintes et maintes tribulations en controverses langagières. ? C'est ainsi que là même, aux puces ou à la décharge publique en dépôt de détritus obsolètes, où tout artiste en mal souci d'inspiration récupère ici et là, quelques matériaux d'aspects si singuliers, juste de quoi susciter une insolite création d'oeuvre d'art. Ce souci à vrai dire d'une inquiétude en ressource d'une essence très salutaire, celle de recycler, de palper, de manipuler, de pétrir dans le propre style d'une pensée qui se doit d'être sans cesse en perpétuelle inventivité, vigilante, projetant le pouvoir d'anticiper de créer, de façonner en menuisant, sculptant dans la guise de ses aspirations en exercice d'une quête tant pratique que vitale, est bien nécessaire pour traiter la réalité brute d'un sens profond qui explose dans ses sauvages apparences. Dans un geste appliqué et accompli pour atteindre, étreindre et domestiquer enfin la quintescence révélée des choses, celle d'une appropriation si gratifiante dans ses effets efficients.
MOMO
EN POSTURE FLAGRANTE D'UNE FERME RESOLUTION CELLE DU DENI D'UNE IDEOLOGIE DU BON SENS TROP ANCREE DANS L'EVIDENCE LEURRANTE D'UNE DOCTE IGNORANCE.
CELLE TRES COMMUNE D'UNE LANGUE DE BOIS.
LORSQUE LE MALIN GENIE FLIRTE TROP IMPUNEMENT AVEC
LA DEBILE SUBJECTIVITE D'UN SUJET TROP HUMAIN.
Il est "temps" de dormir
Minh
jeudi 13 décembre 2012